La zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) se définît comme un projet de zone de libre-échange qui a pour but de simplifier les échanges commerciaux.
En effet, selon les données de la Banque mondiale, ce projet pourrait permettre « aux pays africains de sortir faire de l’extrême pauvreté 30 millions d’habitants et d’accroître le revenu de 68 millions d’autres personnes qui vivent avec moins de 5,50 dollars par jour ».
De plus , si tout est garanti, « la mise en œuvre de la ZLECAf permettrait de mener à bien les réformes de fond nécessaires pour stimuler la croissance à long terme dans les pays africains ».
La Zlecaf comme remède pour sortir le Niger de la crise.
En effet, ce projet est vaste. En quittant la CEDEAO, le Niger a la possibilité de toucher un gain plus profitable avec la mise en œuvre de la zone libre-échange. C’est peut-être la que la chance du Niger se trouve.
L’accord va permettre de réduire les taxes de douane entre les pays membres et aussi s’attardera sur des aspects de politique générale » liés notamment à la facilitation des échanges et aux services, tout en englobant des dispositions réglementaires telles que les normes sanitaires et les barrières techniques au commerce ».
Selon des spécialistes, la mise en œuvre permettra » de réorganiser les marchés et les économies de la région et de stimuler la production dans les secteurs des services, de l’industrie manufacturière et des ressources naturelles. »
Au Niger, un homme a été édifiant dans la conception de ce projet important pour l’Afrique. Il s’agit de l’ancien président Issoufou Mahamadou , grand champion de la zlecaf.
Son rôle est très important puisqu’il a été désigné en 2017 pour piloter le processus de mise en place de la Zone de libre-échange continental (Zlecaf) et il a réussit à convaincre les chefs d’État africains d’adhérer à ce projet continental.
À la suite de cela, 47 états sur 54 ont ratifié ce projet.
Le Niger est mis à l’honneur à travers l’ancien président du Niger, Issoufou Mahamadou.
Pour Mkl
Moctar Laouali