Le 18 juin 2023, débutent les élections législatives de la diaspora dans la 9e région électorale du Niger . En effet, nos équipes se sont réparties un peu plus dans les pays concernés pour en découvrent de cet événement qui en réalité fut complètement fait dans un abstentionnisme total.
Comment les élections législatives de la diaspora se sont passées ?
Tout d’abord dans plusieurs pays, beaucoup de Nigériens ne sont pas partis votées. Les Nigériens délaissent les urnes qu’ils considèrent comme « inutiles » . En plus, dans certaines ambassades et lieux de votes, on a constaté que des cartes d’électeurs n’ont pas été récupérées par l’électeur même. Le taux de participation fut faible surtout en Europe.
L’un des soucis qu’on a constaté, c’est dans l’établissement des procurations , qui d’ailleurs pour avoir le modèle type, il faut se présenter auprès de la commission électorale nationale indépendante ( CENI). Des frustrations ont été remarquées sur ce sujet, car une procuration s’effectue en commun accord avec la personne et avec une légalisation du pays concerné. Dans ce cas de profil, la CENI , pour éviter d’après elle des fraudes. C’est elle qui représenta l’authentification des procurations. En Europe , le taux d’abstentionnisme fut quand même conséquent. Les Nigériens ont préféré retourner au Niger que d’aller voter pour des élections d’un député. C’est aussi compréhensible, la Tabaski approche.
En Afrique, c’est autre chose, la sécurisation des élections a été présente dans plusieurs localités. Des accusations de la part des autres partis ont été constatées comme d’habitude. Par exemple à Kano, il a été reproché à un membre du PNDS d’achat de conscience. Mais même dans certains localités sur le continent, ce ne sont pas tous les Nigériens qui ont procédé aux votes.
En somme, les Nigériens de la diaspora votent sans réellement se présenter eux-mêmes le jour du vote. Dans d’autres pays comme la Belgique et la France, le taux d’enrôlement a été vraiment faible. Les Nigériens ont fait un boycott total de ses élections. La réalité et les enjeux de ses élections législatives restent faibles et non significatifs.